Domotique

Dans le domaine de l'industrie, les machines fonctionnent souvent de 24h/24h. Les ouvriers travaillent sur un créneau horaire appelé les trois 8 et s'adaptent à la fabrication des machines.

Il y a souvent un technicien pour les maintenir en marche et les entretenir en cas de panne. La mondialisation est surement la condition du 0 stop en en industrie. Pour être compétitive, l'entreprise doit rester active 7 jours sur 7 et 24h/24 mais sans pour autant une parfaite harmonie au niveau des condtions de travail.

Selon Philippe Askenazy, écnomiste français et actuel directeur de Recherche du CNRS  ; 

" quand vous travaillez, si une personne placée à deux ou trois mètres de vous, vous adresse la parole : 1. vous l'entendez si elle parle normalement ; 2. vous l'entendez, à condition qu'elle élève la voix ; 3. vous ne pouvez pas l'entendre "

Il faut au moins 85 décibels pour que la communication soit possible. Et ce cas ne concerne que la condition du placement et non celle du bruit des machines.

L'organisation de défense des droits des travailleurs China Labor Watch (CLW), a même souligné que les conditions de travail dans le domaine de l'industrie électronique sont "inhumaines" entre bruit, horaires de travail et rémunération. Les ouvriers travaillent jusqu'à l'épuisement. 

En France, ce n'est pas tout à fait le même constat quoique les horaires de travail et les faibles temps de pause laissent à désirer. 

Par exemple, dans le domaine de l'industrie de l'emboutissage, les bruits des machines peuvent être assourdissants liés aux vibrations des machines. Pour une entrerprise de menuiserie ou de soudage, il faut des casques d'insonorisation ou anti-bruit pour travailler normalement. Mais dès que l'ouvrier fait une pause, il se retrouve confronter à nouveau au bruit. Cela a pour conséquence un mal-être au travail.

Pour améliorer les conditions de travail des ouvriers en entreprise, il faut qu'il soit moins confronter au bruit avec des horaires de travail plus souples et des temps de pause plus fréquentes. Pour réduire les nuisances sonores des machines, l'entreprise industrielle peut mettre dans ses locaux une caisse acoustique d'insonorisation (confère cet exemple).  

L’étude thermique est récemment devenue inséparable aux nouvelles constructions à nos jours. C’est une étude faite pour limiter la consommation en énergie dont l’épuisement imminent n’est pas impossible.

Autrement dit, c’est un test réalisé pour déterminer les parties qui consomment le plus de l’énergie pour ensuite trouver des solutions adéquates. On a recours à ce qu’on appelle DPE (Diagnostic de Performance Energétique) pour savoir la consommation énergétique du bâtiment. Après les différentes constatations et études, les usagers peuvent gagner en énergie et en matière de budget alloué à celle-ci.

La réglementation RT2012 veut que tous les bâtiments en construction respectent les normes de consommation d’énergie. Une fois les tests terminés, le propriétaire peut se procurer d’un label comme le BBC pour son bien.

Au sein de l’Université de la Lettonie, des chercheurs ont entamé des recherches afin de concevoir des bâtiments à énergie zéro en étudiant tous les matériaux à utiliser dans la construction. Ces derniers sont censés résister aux conditions climatiques du pays ainsi que de fournir plus de confort thermique aux usagers. Pour ce faire, des prototypes de bâtiments ont été installés dans le jardin de l’Université et tous mis dans les mêmes conditions pour ensuite évaluer les résultats de chaque étude. Il est à noter que c’est les fonds structurels européens qui cofinancent ce projet qui verra le jour d’ici 7 ans, soit en 2020.

En savoir plus sur l'intérêt d'un bâtiment à énergie positive...

On appelle nanomatériaux, une matière qui se présente soit sous forme de poudre, d’aérosol, de suspension liquide ou de gel et qui présente une, deux ou trois dimensions externes dans le domaine nanométrique.

Ils sont composés de nano objets. Sa taille et sa structure nanométrique lui attribue des propriétés particulières. Les nanomatériaux sont issus de la nanotechnologie, qui est une application dans les recherches sur les principes et les propriétés des atomes et des molécules.

Actuellement on retrouve les nanomatériaux dans plusieurs domaines  d’activités, comme le secteur automobile et aéronautique à travers les peintures anti-rayures par exemple ou les additifs pour diesel pour améliorer la combustion. On doit aussi les mémoires à haute densité, les écrans plats ou encore les ordinateurs rapides aux nanomatériaux pour le secteur électronique. Et encore dans plusieurs domaines comme l’énergie, la chimie, la santé...etc on peut même dire qu’ils inondent notre quotidien à nos jours.

Etant donné que les nanomatériaux nécessitent la maitrise de l’infiniment petit, une équipe de Polytechnique Montréal et d’une Université aux Etats Unis et en Allemagne ont récemment développé un nouveau procédé de fabrication de nanotubes. Ils ont utilisés l’aluminium pour catalyseur et ont remarqué que les nanotubes s’autoalimentent en en les injectant des atomes d’aluminiums.

C’est alors une méthode pour enrichir les nanotubes dans le domaine de l’Industrie des semi-conducteurs. Les résultats de cette recherche vont surement offrir des possibilités pour une classe supplémentaire de nanodispositifs à forme et compositions extrêmement précise.

Le combustible nucléaire est un produit contenant de la matière fissile qui alimente un réacteur à eau pressurisé, grâce à une énergie en entretenant la réaction en chaine.

C’est l’uranium 235, c'est-à-dire, l’uranium à l’état naturel qui est utilisé en guise de combustible dans les centrales nucléaires. A la différence des autres combustibles, l’uranium dégage de la chaleur mais non pas une réelle combustion.

Le cycle du combustible nucléaire comporte en amont l’extraction de l’uranium naturel avec les différentes étapes de traitement, ensuite, l’irradiation en réacteur. En aval du cycle, le traitement du combustible irradié avec l’entreposage des déchets radioactifs jusqu’au stockage. Et enfin le transport du combustible nucléaire et les matières radioactives.

La cryogénie est l’étude et la production des basses températures , qui devraient être à moins de 150° , pour ensuite voir les phénomènes physiques qui s’y manifestent.

Kim Suozzi une étudiante en neuroscience atteinte d’un cancer du cerveau a fait une annonce d’aide sur internet afin de financer sa cryogénisation qui vaut à peu près 70.000 dollars. Ces jours ont été comptés et elle a rendu son dernier souffle en janvier et ensuite a été congelée.

A travers cette vidéo, elle a expliqué ses motivations et ses intentions tout en demandant aux internautes de ce qu’elle devrait faire de ses derniers jours à vivre.

Elle a souligné plus particulièrement qu’étant consciente de l’effet de la cryogénie, après les divers traitements qu’elle a suivi ; c’est la seule chose qu’elle ait pu espérer pour lui donner la guérison. La Society for Venturism a organisé une action caritative en sa faveur pour pouvoir rassembler l’argent nécessaire. L’Alcor Life Extension Foundation quand à eux, se sont occupées de la partie technique de la congélation